objets exposés à Mottattom (avril 2018)Catherine Glassey (objets), Jacques Siron (textes), Ariane Arlotti (photos)Le propos Les découvertes de l’Institut International de Gravatologie permettent de mieux comprendre comment vivaient les gravatiens et gravatiennes, qui se servaient de différents vêtements et accessoires liés aux gravats. Ces objets ont été découverts et restaurés par la Prof. Thérèse Gay-Caslin de l’Université Libre de Caluire-et-Cuire. Les soldats évacuateurs Dans la civilisation des gravats, les soldats jouaient un grand rôle pour évacuer les gravats. Lors d’une cérémonie, ils transportaient des gravats en effectuant un pas dansé chaloupé, accompagné de trompes et de timbales portatives. Uniforme militaire avec poches à gravats. N° inventaire IIG 105-702 ![]() Les chapeaux rituels Dans la civilisation des gravats du XVIIe s., les fêtes saisonnières jouaient un grand rôle. Des chapeaux ont été retrouvés dans la région de Nenda (Amazonie brésilienne). Chapeaux pour les chefs de village. N° inventaire IIG 103-303, -304 ![]() Chapeau pour les vierges. N° inventaire IIG 103-302 ![]() Les enfants esclaves Dans les îles de la Méditerranée, ils servaient à chasser les gravats. Avant l’été, les gravatiens organisaient des rafles pour enlever des enfants. Un enfant habile s’échangeait contre trois chevaux, quinze porcs ou quarante poules. En août et en septembre, les enfants esclaves se faufilaient sous des décombres ou dans des grottes étroites pour cueillir des gravats difficilement accessibles aux adultes. Trois paniers d’enfants-esclaves. N° inventaire IIG 105-734, -735, -736 ![]() |